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Pour une généalogie de vos ancêtres veuillez consulter mon autre site - Pjila'tigw angam a'sei Geitoq Nemijgami' tami wetagutmu'ti'gw

 



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Femmes Autochtones connues - Gaqigjijiatl tan nnusqw

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Analis Obomsawin

(photo et texte tirés de https://www.onf.ca/cineastes/alanis-obomsawin/ )

Madame Analis Obomsawin est née le née le 31 août 1932 à Labanon, New Hampshire, USA. L’une des plus éminentes réalisatrices autochtones du monde, Alanis Obomsawin a commencé sa carrière comme chanteuse et conteuse avant d’en arriver au cinéma en 1967 à titre de consultante à l’ONF. Son œuvre extraordinaire — cinquante films, et elle tourne encore — comprend des documentaires phares comme Les événements de Restigouche et Kanehsatake - 270 ans de résistance. La cinéaste abénaquise a reçu d’innombrables distinctions internationales, et ses films ont fait l’objet d’une rétrospective au Museum of Modern Art de New York en 2008.

 

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Nicole O'bomsawin

(photo tirée de https://webtv.coop/group/video/Nicole-O039Bomsawin-Tewat039kennisa039ane-Nous-nous-rencontrons-/01bf1281c779d046587d6ef936184df3/93d8551ef115cf44f3f5d214b53c54be )

Nicole O'Bomsawin est membre de la Première nation Abénakise et vit à Odanak son village natal. Elle a une formation en anthropologie et en muséologie. Elle enseigne présentement à l’Institut postsecondaire Kiuna. Seul collège qui offre des cours de niveau collégial aux Premières nations du Québec. Elle est aussi agente de développement culturel auprès des familles abénakises d’Odanak et de Wôlinak. Ce qui l’anime : Apprendre à se réconcilier avec la nature qu'elle soit minérale, végétale, animale ou humaine, qu'elle soit d'ici ou d'ailleurs, parce nous respirons le même air qui voyage autour de la terre. Depuis l’an 2000 elle voyage aussi ses contes issus de son patrimoine en les parsemant ici et là de trait culturels afin de faire connaître l’imaginaire, les valeurs et les couleurs de son héritage abénakis. (Texte tiré de http://www.dimanchesduconte.com/archives/32709 )

 

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Michèle Taïna Audette

(Photo tirée de https://ici.radio-canada.ca/espaces-autochtones/1142040/michele-audette-entrevue-bilan-enquete-femmes-autochtones )

(Texte tirée de https://fr.wikipedia.org/wiki/Mich%C3%A8le_Audette )

Michèle Taïna Audette, née le 20 juillet 1971 à Wabush (Labrador), est une femme politique, militante et dirigeante amérindienne canadienne. Elle grandit entre Schefferville, Maliotenam et Montréal, sa famille métissée (son père Gilles Audette est québécois et sa mère Evelyne St-Onge est innu) se faisant refuser une maison en réserve. Elle est la présidente de Femmes autochtones du Québec (FAQ), puis de Femmes autochtones du Canada (AFAC). Elle est aussi entre 2004 et 2008, sous-ministre associée au ministère des Relations avec les citoyens et de l'Immigration du gouvernement du Québec, chargée du secrétariat à la Condition féminine.

Elle joue un rôle déterminant en aidant l'École nationale de l'administration publique à mettre en œuvre un programme novateur dans le domaine des politiques publiques autochtones. Elle est lauréate de la médaille du jubilé de diamant de la reine Élisabeth II en 2012. En 2016, elle est l'une des cinq commissaires de l'Office des Affaires autochtones et du Nord Canada, abrégé en AANC1, qui a pour programme « Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées ». Elle a aussi été relationniste et coordonnatrice à de nombreux festivals aborigènes et recherchiste de Nations, un magazine d'information sur les Amérindiens diffusé à Télé-Québec. Elle poursuit le combat de sa mère, cofondatrice de FAQ, qui s'est battue contre une clause de la "Loi fédérale sur les Indiens", qui stipule qu'une femme amérindienne qui se marie à un Blanc ne peut plus retourner vivre dans sa communauté.

 

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L’honorable Jody Wilson-Raybould

Madame Jody Wilson-Raybould est membre de la nation We Wai Kai et descendante des peuples Musgamagw Tsawataineuk et Laich-Kwil-Tach, qui font partie du Kwakwaka’wakw, également connu sous le nom de peuple parlant le kwak’wala. Son nom ancestral est Kwak’wala, Puglaas, qui signifie «femme née de personnes nobles».

Elle es avocate, défenseure des intérêts des Premières Nations. Elle fut chef régionale de l’Assemblée des Premières Nations de la Colombie-Britannique.

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Joséphine Bacon



Madame Joséphine Bacon est une poète, réalisatrice, traductrice, parolière et enseignante.


(Photo de Anne-Marie Yvontirée - https://ici.radio-canada.ca/espaces-autochtones/1155819/josephine-bacon-innue-poete-autochtone-histoire )

Madame Josephine Bacon est une Innu originaire de Pessamit, une communauté innue située près de Baie-Comeau dans le Nitassinan, un territoire ancestral des Innus faisant parti des territoires Innu Assi.
Que ce soit en cinéma, en poésie ou en chanson, l’ensemblede son œuvre fait écho au patrimoine oralde son peuple,
jamais l’écriture ne remplace l’oralité, elle en constitue plutôt le prolongement, elle devient son complément.

 

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Jemmy Echaquan Dubé

(photo tirée dehttps://www.journaldequebec.com/2020/01/19/je-me-faisais-traiter-de-sauvage-jemmy-echaquan-dube )

Madame Jemmy Echaquan Dubé est Atikamekw, née à Joliette. Elle a vécu à Manawan jusqu’à ses six ans avant de retourner à Joliette.
Elle a étudié en arts visuels au Cégep de Trois-Rivières et se passionne pour toutes les formes d’art comme la photographie,
la peinture, le cinéma, la musique et la danse. Elle est maintenant monteuse professionnelle
et a travaillé sur plusieurs projets corporatifs pour OXFAM Québec, Femmes autochtones du Québec, etc.
Elle donne également des ateliers de sensibilisation aux allochtones et sa première visite
à l’Instance permanente de l’ONU sur les questions autochtones en 2017 l’a inspirée à sensibiliser
les jeunes autochtones pour qu’ils deviennent des leaders et prennent conscience de leurs droits.
Une vraie touche-à-tout, Jemmy a plusieurs projets tête allant de l’écriture à la réalisation en passant par la musique.
Elle est actuellement stagiaire à l'ONF et porte-parole du Réseau jeunesse des Premières Nations du Québec et du Labrador.
(Texte tiré de http://www.dimanchesduconte.com/archives/32709 )
Elle est connue pour le rôle de Daisy dans la série télévisée Fugueuse ( https://videos.tva.ca/page/fugueuse ).

 

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Kenojuak Ashevak

(photo et texte tirés de https://www.newjourneys.ca/fr/articles/six-femmes-autochtones-que-tous-les-canadiens-devraient-connaitre )

Madame Kenojuak Ashevak (1927-2013) est l’une des premières femmes de Cape Dorset à se consacrer au dessin et à devenir une artiste célèbre et reconnue. Kenojuak Ashevak utilisait différents outils dans son art, notamment des bâtons de graphite, des feutres, des crayons de couleur, de l’aquarelle et de la peinture acrylique. Elle créait également des sculptures en stéatite et de gravures sur pierre. Son mari, Johnniebo Ashevak, était aussi artiste, et le couple travailla souvent ensemble jusqu’à la mort de l’époux en 1972.

 

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Mary Two-Axe Earley

(photo et texte tirés de https://www.newjourneys.ca/fr/articles/six-femmes-autochtones-que-tous-les-canadiens-devraient-connaitre )

Madame Mary Two-Axe Earley (1911-1996) Mary Two-Axe était une femme Mohawk, née dans la réserve de Kahnawake, au Québec. À l’âge de 18 ans, elle déménagea à New York où elle rencontra Edward Earley, un Américain d’origine irlandaise avec qui elle se maria. Mais, à la suite de leur union, elle perdit son statut d’Indien ainsi que le droit de vivre dans la réserve ou de participer à la vie de sa communauté.

 

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Angela Sidney

(photo et texte tirés de https://www.newjourneys.ca/fr/articles/six-femmes-autochtones-que-tous-les-canadiens-devraient-connaitre )

Madame Angela Sidney (1902-1991) était une femme Tagish dont une grande partie de la vie fut consacrée à préserver les histoires de son peuple. Elle aimait écouter ses parents et proches lui raconter d’anciens récits, et elle voulait perpétrer les histoires, la langue et les danses Tagish, alors elle commença à les enseigner aux enfants. Pour que sa langue reste vivante, elle aida les linguistes et anthropologues dans leurs recherches. Elle participa à l’enregistrement de récits et à la publication de livres contenant des chansons, des histoires et des noms de lieux Tagish.

 

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Mikak

(photo et texte tirés de https://www.newjourneys.ca/fr/articles/six-femmes-autochtones-que-tous-les-canadiens-devraient-connaitre )

Née au Labrador, Madame Mikak (1740-1795) a joué un rôle important dans l’établissement de relations amicales entre les commerçants européens et les Inuits. Elle semble être la première Inuite à avoir fait le voyage jusqu’en Europe, puis à être revenue en Amérique du Nord (la plupart des passagers mourraient de maladies comme la variole et ne revenaient jamais). Elle est l’une des premières Inuites à être mentionnée dans les documents historiques.

 

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Nora Bernard

(photo et texte tirés de https://www.newjourneys.ca/fr/articles/six-femmes-autochtones-que-tous-les-canadiens-devraient-connaitre )

Madame Nora Bernard était une activiste Mi'kmaq qui s’est battue pour l’indemnisation des survivants des pensionnats indiens. Enfant, elle passa cinq ans au pensionnat indien de Shubenacadie, une expérience qui l’a conduite à intenter un procès contre le gouvernement en raison des mauvais traitements qu’elle y subit. Au pensionnat, Nora Bernard défendait ses frères et sœurs et les autres enfants quand elle était témoin de mauvais traitements, mais en retour, elle était battue.

 

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Jean Cuthand Goodwill

(photo et texte tirés de https://www.newjourneys.ca/fr/articles/six-femmes-autochtones-que-tous-les-canadiens-devraient-connaitre )

Jean Cuthand Goodwill (1928-1997) Jean Cuthand Goodwill, une femme crie de la Première nation de Little Pine, fut la première personne autochtone en Saskatchewan et l’une des premières personnes au Canada à devenir infirmière. Enfant, elle contracta la tuberculose et passa beaucoup de temps dans le milieu hospitalier, entourée de personnel médical, une expérience qui l’influença dans son choix de devenir infirmière. Elle commença sa carrière dans les régions rurales de la Saskatchewan, puis partit aux Bermudes, où elle s’employa à aider les personnes dans le besoin.

À son retour au Canada, elle se passionna pour les questions politiques et communautaires. Elle participa à la fondation de l’Association des infirmières et infirmiers autochtones du Canada et en fut présidente de 1983 à 1990. Elle fut la première femme autochtone à occuper le poste de conseillère spéciale de la ministre de la Santé nationale et du Bien-être social avant d’être nommée au ministère des Affaires indiennes et du Nord canadien. Elle enseigna à l’Université de Regina, fut membre du comité directeur de l’Association canadienne de santé publique et fut présidente de la Société Canadienne pour la Santé Circumpolaire.

 

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